Je n'ai écrit nulle part que je t'avais dit que tu me plaisais, que je t'avais fait tout comprendre,que j'avais tout copris. Que tout a été dit. Et qu'on ne dit plus rien.La vérité ne vaut pas toujours la peine. Bien qu'on nous fasse croire le contraire, il n'y a pas de pire douleur que de perdre ce qu'on avait pour une vérité lacinante.
Voilà,c'est écrit.
A.reculons
Et le ventre noué,j'avance le coeur en bandoulière.
A.reculons
Et le ventre noué,j'avance le coeur en bandoulière.
Mardi 26 mai 2009 à 21:05
Lundi 25 mai 2009 à 21:42
"Et le désir de la possession physique même disparaissait sous une envie plus profonde, dans une curiosité douloureuse qui n'avait pas de limites."
-Je crois que Flaubert a parfaitement défini l'amour dans ces mots, une curiosité douleureuse par son infini, l'éternelle question "Qui est-tu?"
Elle me parlait de ses amours, et plusieurs fois elle demandait "Et toi,t'es sûre, il n'y a aucun garçon qui t'interesse?" J'ai l'habitude de faire semblant, mais avec elle,c'était plus dur, car notre complicité grandissait chaque jour, avec le poids de mon secret. Je savais qu'elle se doutait qu'il y avait quelqu'un,qu'il y avait quelque chose. Je ne pensais pas qu'en étant ivre, elle me le dirait" Je sais pour Arthur." Je n'avais plus la force de démentir, de tisser des mensonges, seulement celle de nier de la tête. Non. Et puis, elle me l'a dit,aujourd'hui "Tu sais, quand quelqu'un aime quelqu'un ça se voit par le comportement, et les yeux." Il faut croire que mon regard m'a encore trahi.
-Je crois que Flaubert a parfaitement défini l'amour dans ces mots, une curiosité douleureuse par son infini, l'éternelle question "Qui est-tu?"
Elle me parlait de ses amours, et plusieurs fois elle demandait "Et toi,t'es sûre, il n'y a aucun garçon qui t'interesse?" J'ai l'habitude de faire semblant, mais avec elle,c'était plus dur, car notre complicité grandissait chaque jour, avec le poids de mon secret. Je savais qu'elle se doutait qu'il y avait quelqu'un,qu'il y avait quelque chose. Je ne pensais pas qu'en étant ivre, elle me le dirait" Je sais pour Arthur." Je n'avais plus la force de démentir, de tisser des mensonges, seulement celle de nier de la tête. Non. Et puis, elle me l'a dit,aujourd'hui "Tu sais, quand quelqu'un aime quelqu'un ça se voit par le comportement, et les yeux." Il faut croire que mon regard m'a encore trahi.
Lundi 25 mai 2009 à 17:28
Je regarde mes sourires des 14 ans et me demande pourquoi,lorsque n'importe quelle personne voit cette photo de moi, tête pleine de rêves et d'atébas, elle ne peut s'empêcher de dire "Ce que tu étais belle...Tu as l'air pure." La vie est passée sur moi entre temps, a alourdi mon corps et creusé mon visage, éteitn mes yeux. Je sais. C'est une photo que je n'arrive pas à regarder en face, car je sais que ce visage,je ne le retrouverai jamais. C'est le visage de la jeunesse perdue.
Lundi 25 mai 2009 à 0:21
Chuck Bass a dit à Blair Wardolf qu'il l'aimait.
Jeudi 21 mai 2009 à 21:18
"Il faut que j'arrête de l'aimer et tout sera comme avant.
-Tu crois que c'est possible?
-Non. Bien sûr que non."
-Tu crois que c'est possible?
-Non. Bien sûr que non."