A.reculons

Et le ventre noué,j'avance le coeur en bandoulière.

Lundi 9 mars 2009 à 20:21

J'aime toujours plus que je suis aimée.

Oui,je parle de mes amies.Oui,un peu de toi aussi. combien ça coute un pardon?

Lundi 9 mars 2009 à 18:14

Oui. C'est vrai. C'est vrai que plus on grandit, moins on a l'impression d'être vivants.
Je vis déjà mille fois moins qu'il y a deux ans, et je ne veux même pas penser à il y a dix ans. Quoique,enfant,c'est différent. On comprend évidemment,

Lundi 9 mars 2009 à 0:09

Je crois que je me suis un peu perdue en route. Sur la route. Tant pis. Mes sourires sont si forts tous les samedis que je ne crois pas que le reste ait une quelconque importance. Qu'est ce que ça peut faire que je me haisse de ne pas travailler du tout? On croit que c'est plus facile quand on est une bonne élève. Le problème,c'est l'orgueil, qui nous pousse à dire "Oui,j'ai fait le français,j'ai commencé à réviser,j'ai aussi commencé les maths" quand on a passé 5 jours enfermés à glander, à s'assoir deux minutes face à son bureau et à se lever. Pour aller s'échouer sur le canapé,ou sur le lit.Le pire,ce qui est pire que l'orgueil,c'est les remords. De se dire qu'on fout tout en l'air pour strictement aucune raison. Et aussi de voir qu'apprendre,comprendre ne nous procure plus aucun plaisir,et même de savoir pertinamment que ça nous lasse vraiment. Qu'importe. Malgré la boule d'angoisse du lycée qui me colle au ventre depuis des semaines, je vais bien. Même si. Même si je voudrais qu'il m'apprécie particulièrement, et sait que ça n'arrivera jamais.
Tant pis. Il fait beau,même si l'air est froid. Et puis les beaux jours sont à venir.

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Jeudi 5 mars 2009 à 21:41

J'ai même jusquà la paresse d'écrire un article. Je ne sais pas pourquoi elle me prend,mais elle ne me lâche pas,avec son amie l'incapacité. J'ai beau rester assise des heures à mon bureau,rien ne vient. Rien ne vient dans mon cerveau.

Dimanche 1er mars 2009 à 21:52

Je t'aime.

Le silence m'enserre tendrement.

"Et tous les soirs,pour m'endormir,je rêve de ne jamais t'avoir rencontré."
 
 
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