C'est tout moi de regretter les choses à peine faite. J'hésite toujours à écrire partout, mais l'envie est très forte, peu importe qu'on me connaise, déouvre,je prends le risque. C'est moi qui l'ai viré et il me manque. Parce que je sais que plus jamais nos lèvres ne se rencontreront. Alors que j'ai toujours cru le désirer à jamais. Oui, je le désire encore, mais la volonté d'en finir a entrainé la défaite de mes envies, de ses espoirs. Je t'ai trop aimé pour avoir envie de recommencer. Et justement, toi, pas assez. Tes regrets viennent trop tard. J'ai fermé ton placard.
Je me sens bien. Un poids en moins. Tout mon passé nocif derrière moi, je vais pouvoir vraiment avancer.
J'ai jetté mes cigarettes.
Mais je n'arrive toujours pas à travailler.
A.reculons
Et le ventre noué,j'avance le coeur en bandoulière.
A.reculons
Et le ventre noué,j'avance le coeur en bandoulière.
Dimanche 10 octobre 2010 à 14:40
Samedi 9 octobre 2010 à 21:11
"Est ce qu'il est possible que deux personnes s'aiment et que ça ne suffise pas?"
Trois heures à tourner autour du lit pour la fin de trois ans d'errement.
Trois heures à tourner autour du lit pour la fin de trois ans d'errement.
Jeudi 7 octobre 2010 à 21:42
Aujourd'hui,j'ai perdu une amie.
Elle dit que ce n'est pas ça. Juste que c'est impossible d'être là en ne l'étant pas. Trop dur à supporter. Qu'elle préfère s'effacer pour me retrouver. Attendre. Je m'étais dit ça aussi. Puisque chaque pensée pour elle me déchire le coeur, que je ne supporte plus cette distance si grande qu'on a jamais eu à affronter jusqu'ici. J'avais pensé comme elle, trop dur à supporter. Qu'il valait mieux la mettre de coté.
Et puis j'ai compris qu'on perdrait ce qu'on avait. Elle dirait que je m'inquiete trop en lisant ceci. Qu'on est toujours amis. Que je fais chier à la fin à en douter. Mais elle ne lit pas. Mais elle n'est plus là.
Elle dit que ce n'est pas ça. Juste que c'est impossible d'être là en ne l'étant pas. Trop dur à supporter. Qu'elle préfère s'effacer pour me retrouver. Attendre. Je m'étais dit ça aussi. Puisque chaque pensée pour elle me déchire le coeur, que je ne supporte plus cette distance si grande qu'on a jamais eu à affronter jusqu'ici. J'avais pensé comme elle, trop dur à supporter. Qu'il valait mieux la mettre de coté.
Et puis j'ai compris qu'on perdrait ce qu'on avait. Elle dirait que je m'inquiete trop en lisant ceci. Qu'on est toujours amis. Que je fais chier à la fin à en douter. Mais elle ne lit pas. Mais elle n'est plus là.
Mercredi 6 octobre 2010 à 20:41
Ne pas perdre ceux qui sont importants, voilà ce qui importe. Voilà ce qui se perd sans qu'on en ait conscience.
Tes mots doux et suppureux se sont heurtés à mes ouvertures murées. Il n'existe plus aucune fente par laquelle ton être puisses t'insinuer dans mon coeur. Mais mon corps te cède encore.
Tes mots doux et suppureux se sont heurtés à mes ouvertures murées. Il n'existe plus aucune fente par laquelle ton être puisses t'insinuer dans mon coeur. Mais mon corps te cède encore.